Des avis divers et variés au sein de notre club lors de cette première édition du Marathon des Grands Crus.
Beaucoup d’appréhension aussi avant la course par les ouï-dire sur le parcours jugé difficile et dangereux, certains ayant eu l’occasion de le tester avant et d’autres étant allés en repérage la veille au soir.
Finalement, il n’y a pas eu de blessés pour nos patineurs (à l’exception de quelques ampoules), mais un gros stress pour les semi-marathoniens qui ont attendu durant deux heures leur départ au pied de la descente, sans doute la plus dangereuse du parcours. Quel soulagement de voir tous nos marathoniens descendre avec prudence, à deux à l’heure, afin d’éviter les chutes des autres patineurs ! Pas facile de décrire cette scène sans laisser transparaître une forte émotion. Pas facile d’oublier toutes ces chutes, ces blessés… C’est donc dans cet état d’esprit que Maïa, Astrid, Florent, Ludovic, Xavier et Laurent se sont alignés sur la ligne de départ avec pour mission d’arriver en entier à Dijon.
Quant aux marathoniens, Ugo, Kéo, Tophi, Anthony et Dominique (Yan, blessé, a préféré jouer la prudence), au cœur de l’action, n’ont pas vécu la course de la même façon. Ils ont apprécié la moitié du parcours qui était très roulant (ils n’ont peut-être jamais roulé aussi vite) ainsi que les encouragements du public dans les villages, mais ont trouvé la seconde moitié très difficile (en raison des faux plats montants, du « gratton » et du vent de face plutôt désagréable qui ne les a pas incités à lever la tête pour profiter du paysage).
Flora, quant à elle, benjamine, a participé à une course, la veille, aux allées des Parcs où avait lieu jusqu’à présent le marathon de Dijon.
Nos supporters, eux, ont attendu, à Dijon. Ils ont pu assisté au départ du marathon et à l’arrivée du semi-marathon et du marathon. Ils ont suivi la course sur leur téléphone via le live et ont regretté, comme les patineurs d’ailleurs, le manque d’ambiance à l’arrivée.
Expérience à renouveler ? À voir !